La crise des opioïdes et des méthamphétamines au Canada est décrite comme la pire crise de santé publique de l’histoire moderne. Dans les communautés des Premières Nations, le fardeau de la dépendance et des troubles mentaux est accablant.
Sans ressources adéquates pour soutenir le mieux-être mental des Peuples des Premières Nations, ceux-ci peuvent chercher des moyens de faire face en recourant à des substances qui peuvent offrir un faux sentiment de soulagement de la douleur causée par le traumatisme intergénérationnel (par exemple, les pensionnats, la déconnexion de la terre, de la famille et de la culture par l’entremise de la protection de l’enfance) et les expériences traumatiques personnelles vécues dans leur vie (par exemple, la violence familiale, les abus sexuels, la négligence, le racisme) (CCMMPN, 2015).
Les personnes qui consomment des drogues sont des personnes – des personnes qui ont droit à la santé et au soutien social. Réduire les risques de préjudice pour les personnes qui consomment des drogues réduit également les risques de préjudice pour la famille et la communauté. Voici quelques questions fréquemment posées sur la réduction des méfaits.